Igit « Je suis libre »

Et les fantômes de nos gosses dans les regards des marmots
Ça me fait chialer, et ça me serre
Comme ta main absente pour serrer ces mots
Et tous ces cons qui pointent ton souvenir
On leur a pas appris que montrer du doigt c’est pas poli
Puis que ça fait mal, puis que ça fait peur
Que ça brûle à l’intérieur
Puis que ça crie ton nom par delà les océans
Mais les larmes ça se met pas dans les lettres
Ça se garde près des peut-être
Et ça se ressort au coin d’une rue
Et ça se mord tellement, les jours que la douleur n’est plus
Je découvre , c’est drôle, sa tête me parait familière, et c’est la première fois que je l’entends .