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Gaël Duro, l’empreinte de belles références

e4e4b6_c5997f69f5ee4c6e919688efd3e49767.jpg_srz_p_323_311_75_22_0.50_1.20_0Premier album solo pour Gaël Duro, pas tout à fait inconnu pour qui s’intéresse à la scène ouest : il fut douze années durant l’un des animateurs (et co-créateur) du groupe Gwenc’hlan (rock aux accents celtes, du nom d’un illustre et légendaire barde breton du VIe siècle) où il officia d’abord comme bassiste puis comme auteur et chanteur.

Exit le groupe, le voici solo. Pour le coup, on prendra le terme « solo » au pied de la lettre : Duro y a tout fait, composition comme écriture, enregistrement comme mixage. Et tous les instruments, d’où les claviers prédominent.

Son art est comme curseur oscillant de Gainsbourg à Delerm, Miossec aussi (et, qu’il nous chante ou susurre, les voix de rigueur, de nicotine), comme un Gainsbourg un peu assagi, un Delerm en surtension. De telles références supposent une réelle qualité d’écriture des rimes comme des notes et il y a manifestement le compte. C’est vous dire le plaisir.

Premier album solo pour Gaël Duro, pas tout à fait inconnu pour qui s’intéresse à la scène ouest : il fut douze années durant l’un des animateurs (et co-créateur) du groupe Gwenc’hlan (rock aux accents celtes, du nom d’un illustre et légendaire barde breton du VIe siècle) où il officia d’abord comme bassiste puis comme auteur et chanteur.

Exit le groupe, le voici solo. Pour le coup, on prendra le terme « solo » au pied de la lettre : Duro y a tout fait, composition comme écriture, enregistrement comme mixage. Et tous les instruments, d’où les claviers prédominent.

Son art est comme curseur oscillant de Gainsbourg à Delerm, Miossec aussi (et, qu’il nous chante ou susurre, les voix de rigueur, de nicotine), comme un Gainsbourg un peu assagi, un Delerm en surtension. De telles références supposent une réelle qualité d’écriture des rimes comme des notes et il y a manifestement le compte. C’est vous dire le plaisir.

« Pourquoi s’est-on aimés, pourquoi es-tu restée ? » : la dominante des ces chansons est sinon l’amour au moins la femme, en de multiples focales, séduction et adieux, par devant par derrière, en des mots et des images précis et pertinents, la fougue aussi : « J’ai eu ton ventre, j’ai eu ton coeur / Maintenant ça suffit / Va au diable mon amour / Et adieu pour toujours. » Par le regard du chanteur comme par celui des autres. En des rimes qui peuvent rendre jaloux et prétexter de nombreuses et fiévreuses écoutes « tellement c’est beau. » Parmi les dix chansons de ce prime opus, on pourrait faire de Ma bretonne un tube si les radios avaient du goût et de l’oreille. Avec des si, on fera de Duro une vedette…

On l’a souvent écrit ces derniers temps : là encore, on a le regret de l’absence d’un livret où on puisse se ressourcer aux paroles. Budget trop limité sans doute, disque autoproduit, dommage.

Gaël Duro, Tu vois le tableau, autoproduit 2014. Le site de Gaël Duro, c’est ici. En concert le samedi 6 septembre 2014 au Lightéa Café à Pleurmeur-Gauthier, le samedi 12 septembre à La Chaumière au Guilvinec, le mardi 23 septembre à La Comédie Nation à Paris et le samedi 27 septembre au Triolet à Nantes.

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« Pourquoi s’est-on aimés, pourquoi es-tu restée ? » : la dominante des ces chansons est sinon l’amour au moins la femme, en de multiples focales, séduction et adieux, par devant par derrière, en des mots et des images précis et pertinents, la fougue aussi : « J’ai eu ton ventre, j’ai eu ton coeur / Maintenant ça suffit / Va au diable mon amour / Et adieu pour toujours. » Par le regard du chanteur comme par celui des autres. En des rimes qui peuvent rendre jaloux et prétexter de nombreuses et fiévreuses écoutes « tellement c’est beau. » Parmi les dix chansons de ce prime opus, on pourrait faire de Ma bretonne un tube si les radios avaient du goût et de l’oreille. Avec des si, on fera de Duro une vedette…

On l’a souvent écrit ces derniers temps : là encore, on a le regret de l’absence d’un livret où on puisse se ressourcer aux paroles. Budget trop limité sans doute, disque autoproduit, dommage.

Gaël Duro, Tu vois le tableau, autoproduit 2014. Le site de Gaël Duro, c’est ici. En concert le samedi 6 septembre 2014 au Lightéa Café à Pleurmeur-Gauthier, le samedi 12 septembre à La Chaumière au Guilvinec, le mardi 23 septembre à La Comédie Nation à Paris et le samedi 27 septembre au Triolet à Nantes.

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Et, pour mémoire, retour sur sa précédente formation, Gwenc’hlan :  Image de prévisualisation YouTube

https://www.facebook.com/gael.duro

Une réponse à Gaël Duro, l’empreinte de belles références

  1. Danièle Sala 4 septembre 2014 à 17 h 32 min

    Et peut écouter d’autres extraits sur son tout nouveau site : on http://xgael14.wi.com/gaelduro

    Répondre

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