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Barbara Weldens « Viens »

Weldens Barbara grand H de l'hommeViens, j’ai envie qu’on s’en aille
Et qu’on laisse derrière nous le chaos du passé
Viens, et fuyons les batailles
Et les regards jaloux
Qu’il nous faut affronter
Viens, oublions que nos cœurs ont déjà traversé
Mille chemins délabrés

Barbara Weldens

Paroles et Musique Barbara Weldens. Extrait de l’album « Le Grand H de l’homme » (2017)

Deux ans que Barbara Weldens, en pleine ascension de sa carrière de chanteuse, enfin reconnue, nous quittait tragiquement.

Le 28 mai 2019 la placette Barbara Weldens, ornée d’une sculpture dédiée à Barbara par ses amis les tailleurs de pierre, était inaugurée à Fouzilhon avec une soirée concert hommage, qui fêtait également la sortie de l’album des
Oies blanches, le groupe de rock de Barbara.

Le 16 juillet 2019 quinze artistes lui rendaient hommage autour de Jérémie Bossone lors du Festival de Gourdon.

3 Réponses à Barbara Weldens « Viens »

  1. Evelyne GUTIERES 19 juillet 2019 à 14 h 17 min

    J’ai eu une grande émotion en écoutant cette magnifique version de « viens » de Barbara Weldens .Le violon ajoute une autre dimension à ce texte si fort
    j’ai eu le grand plaisir de l’entendre mardi à Gourdon chanté par Marion Cousineau et Jacky Le Poittevin dans un piano-voix émouvant.
    cette soirée en hommage à Barbara était bouleversante avec de l’émotion ,certes mais avec aussi des moments plein de tendresse et d’amour
    je remercie par votre intermédiaire les organisateurs de ce festival Léo Ferré et je salue le courage qu’ils ont eu pour surmonter le drame qui a oté la vie à Barbara.Tous les artistes présents lui ont rendu un vibrant hommage.Bravo!
    Evelyne

    Répondre
  2. Martine Ullmann 22 juillet 2019 à 16 h 26 min

    Plus de mots … que les émotions qui m’envahissent en écoutant et voyant cette magnifique jeune femme …. étoile filante, à jamais protégée dans nos coeurs …

    Répondre
  3. Jacques 24 juillet 2019 à 15 h 28 min

    Belle chanson et belle interprétation qui n’est pas sans faire penser au grand Jacques Brel, un Brel au féminin, et c’est si rare.
    Sobriété bienvenue des arrangements musicaux.
    Une infime réserve sur une gestuelle un peu envahissante car encore mal maitrisée.

    Répondre

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