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Pierre Lebelâge, chanteur qui [d]étonne

Pierre Lebelâge (photo d'archives DR)

Pierre Lebelâge (photo d’archives DR)

Pierre Lebelâge, Chez ta Mère à Toulouse, dimanche 1er décembre 2013,

 

Rarement ma plume sera restée aussi longtemps hésitante, je l’avoue d’entrée de jeu. Ce concert m’a laissée dubitative, perplexe comme d’ailleurs les enregistrements vidéos.  Quant à l’album, produit par Tacet (excusez du peu : Leprest, bien sûr, mais aussi Enzo Enzo, Jehan, Miravette, Joyet…) annoncé pour 2013, il tarde singulièrement à arriver. Dommage pour l’artiste qui ne cesse d’être interpellé sur cette attente et que des  spectateurs réclament !

Ici même, des mots plus que bienveillants ont été posés sur cette chanson de Pierre Lebelâge, que l’éminent festival de Barjac a accueilli en 2012.  Alors on réfléchit à deux fois avant d’écrire. Et pourtant, c’est vrai, Pierre Lebelâge entendu sur quelques titres en 2009 lors d’une écoute à l’aveugle, pour la sélection du tremplin Festiv’Art, avait déjà laissé cette impression. Que faut-il penser de cette chanson là, aujourd’hui ?

Les mots foisonnent pour tracer des portraits incisifs, décapants, dérangeants : la dame aux caméléons, pas tendre pour un rond, dont les propos prêtent à contusions ( !) et qui offrent ses bons sévices aux dignités, ou bien les locataires de la Tour de Babel évoqués étage par étage – un sacré bordel ! – ou encore ce malchanceux, ce mal peigné, la verrue de la rue Maupassant, ou cette dame pipi qui vous assène ses méditations et dont on devine où ira son vote aux prochaines élections ! Toute cette ménagerie est sauvée de la désespérance par l’humour, souvent l’ironie, plus acide. Quelques textes plus attendris aussi créent un instant d’émotion comme  Je déménage, ou plus encore Ma Métisse, m’amadoue, docile à son cœur doux…

MATIS, UN CHANTEUR EN CACHE UN AUTRE Chez ta Mère, Dimanche 1er décembre 2013, Sous le nom de Matis, nous est apparu hier en première partie un visage connu : Florent Gourault, auteur et  chanteur des Pauvres Martins qui voguent avec lui en ce moment vers d’autres sphères… disons, plus électriques, plus électro… à la conquête d’autres scènes que celles de la Chanson. Ce Matis, qui veut renouer avec une chanson plus intime,  a chanté  en solo cinq titres, accompagné par la guitare électrique de Quentin Daniel, une guitare qui sublime littéralement l’interprétation du chanteur, dont on connaît bien la présence féline, entre slam, déclamation et chanson.  Quant aux textes, c’est avec un plaisir non dissimulé que l’on retrouve  la richesse des atmosphères si sensibles aux autres arts. Retenons ce blues, hymne au bleu, celui de Nougaro à sa dernière heure, celui de Picasso à sa première. Nous attendrons avec impatience la suite de cette nouvelle aventure, du doux nom de Matis.

MATIS, UN CHANTEUR EN CACHE UN AUTRE
Chez ta Mère, Dimanche 1er décembre 2013,
Sous le nom de Matis, nous est apparu hier en première partie un visage connu : Florent Gourault, auteur et chanteur des Pauvres Martins qui voguent avec lui en ce moment vers d’autres sphères… disons, plus électriques, plus électro… à la conquête d’autres scènes que celles de la Chanson. Ce Matis, qui veut renouer avec une chanson plus intime, a chanté en solo cinq titres, accompagné par la guitare électrique de Quentin Daniel, une guitare qui sublime littéralement l’interprétation du chanteur, dont on connaît bien la présence féline, entre slam, déclamation et chanson. Quant aux textes, c’est avec un plaisir non dissimulé que l’on retrouve la richesse des atmosphères si sensibles aux autres arts. Retenons ce blues, hymne au bleu, celui de Nougaro à sa dernière heure, celui de Picasso à sa première.
Nous attendrons avec impatience la suite de cette nouvelle aventure, du doux nom de Matis.

Certes ces chansons là sont savamment écrites : inventions, jeux de mots fourmillent, s’accumulent même au point qu’il est difficile de tous les percevoir à la première écoute. Peut-être est-ce la justification du soutien que ce jeune auteur a pu recueillir auprès des « anciens », à commencer par Allain Leprest ?

Mais j’en viens au motif de ma perplexité. Outre que l’accompagnement à la guitare lasse un peu, ne me paraît pas chercher vraiment la diversité des ambiances sonores, l’interprète reste assis sur son tabouret haut et n’en bouge que pour quitter la scène. On peut trouver sans doute son compte dans cette intimité, ce  dépouillement, dans quelques mots prononcés entre les chansons, avec un rien de gentillesse et cet accent du Sud assez irrésistible, mais est-ce aujourd’hui suffisant pour un jeune artiste ? Je m’étonne vraiment moi qui suis de la génération de ceux qui ont été bercés par cette chanson dont on rapproche Pierre Lebelâge. N’est-il pas un rien égaré dans cette chanson d’aujourd’hui, ne lui manque t-il pas un petit grain de folle jeunesse pour conquérir les diffuseurs ?

Le site de Pierre Lebelâge, c’est ici ; ce que NosEnchanteurs a déjà dit de lui, c’est là. Image de prévisualisation YouTube

     

35 Réponses à Pierre Lebelâge, chanteur qui [d]étonne

  1. Danièle Sala 4 décembre 2013 à 10 h 00 min

    Pierre Lebelâge, c’est la révolte tranquille …Il faudrait juste qu’il réveille un peu sa guitare .

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  2. Michelle Moinard Naudin 4 décembre 2013 à 11 h 59 min

    Nostalgie, Nostalgie… J’aime cet artiste qui ne fait penser à Brassens dans l interprétation comme sur scène.

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  3. Norbert Gabriel 4 décembre 2013 à 12 h 00 min

    Je partage en très grande partie ce qu’écrit Claude, (sur l’écriture très travaillée, mais très accessible à mon sens) récemment j’ai vu Pierre Lebelâge 2 jours de suite, la première fois avec un guitariste partenaire, (guitare électrique) ce qui transformait complètement sa prestation. C’était dans l’exercice d’une première partie, 4 ou 5 chansons, j’en connaissais 3, et la présence de ce musicien leur donnait « des pleins et des déliés » et des couleurs plus brillantes. Je ne sais pas ce que sera l’album, mais j’attends avec curiosité. L’autre question qu’on peut se poser, n’est-il pas un peu tôt pour un album complet ?
    Et salut à ce guitariste (ici à l’Alhambra, aux côtés de Pierre Lebelâge)
    c’est Eliott Weingand , merci Danièle ….
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  4. Chris Land 4 décembre 2013 à 15 h 41 min

    C’est étrange ce grief fait à Pierre Lebelâge concernant la monotonie de son accompagnement. C’est quasiment mots pour mots, le reproche qui était fait à Brassens…
    Je lui souhaite le même chemin !
    Et si des occasions plus nombreuses de se présenter devant un public plus large, plus diversifié lui étaient proposées, peut-être aurait il envie de quitter son tabouret, équivalent de la chaise sur laquelle Brassens posait le pied (différence anatomique de taille !). D’ailleurs, son jeu de guitare me semble plus « performant » que celui du Tonton Georges… mais, bon…
    Les douze titres du CD mythique tant attendu ne me semblent pas prématurés, le bonhomme a de la ressource. Artistiquement, j’entends…
    Alors, à qui la faute ?
    Parenthèse : JeHaN n’est plus chez Tacet. Excusez du peu.

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    • Christian camerlynck 4 décembre 2013 à 15 h 48 min

      Un peu de patience… Je suis sur qu’il sortira le CD . Encore faut-il qu’il se vende… Et par les temps qui courent prudence…. Je ne parlerai pas de faute.

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    • Michel Kemper 10 décembre 2013 à 18 h 30 min

      Je souhaite aussi beaucoup de bonheur à Lebelâge. Si je te réponds, Christian, c’est que dans ton message il y a comme une piste cachée, un non dit, des allusions pour initiés, et c’est forcément malsain, c’est ce que je ne souhaite pas sur ce site sauf à faire fuir pas mal de lecteurs. On ne peut comprendre que ce qui est bien énoncé et je crois que, si tu attaques ici Tacet, il faut dire les choses, expliquer, pas donner un coup de griffes en passant, presque en catimini. Car ça veut dire quoi « Alors, à qui la faute ? » ; ça veut dire quoi « Jehan n’est plus chez Tacet. Excusez du peu » ? Comme s’il fallait trouver chaque fois le même responsable, que tu n’apprécies pas, pour les raisons qui sont les tiennes et uniquement les tiennes.
      Par respect des lecteurs de NosEnchanteurs qui ne connaissent pas tous les clans, querelles et inimitiés du microcosme de la chanson et qui d’ailleurs s’en foutent, je pense que dans l’avenir nous serons amenés à tailler dans les commentaires pour les assainir, les délester de ces lourds sous-entendus. Et que personne ne nous accuse alors de censure !

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  5. Christian camerlynck 4 décembre 2013 à 15 h 44 min

    J’aime ce bonhomme, sa discrétion, son écriture… Pour apprendre la scène faut y chanter… Sur scène. S’il le souhaite je l’aiderais avec plaisir pour le reste il n’a besoin de personne.

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  6. Jo T 4 décembre 2013 à 21 h 16 min

    J’adore ce chanteur qui se la ramène pas trop. Sans esbroufe et sans gesticulation, on s’attache au texte et à l’accompagnement, ma foi, pas si mal, non ?

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  7. Alain Chabrier 5 décembre 2013 à 19 h 18 min

    Je ne comprends pas au juste ce qu’on reproche à Pierre Lebelâge.Ce qu’il propose est atypique mais il ne lui manque rien à mon goût et surtout pas un grain de folle jeunesse (quelle horreur!) qui le ferait ressembler à tous ces allumés qui plaisent aux vieux qui tentent d’être encore un peu dans le coup.
    En ce qui concerne la question cruciale du tabouret, j’ai envie de dire arrêtons de sodomiser les mouches et concentrons nous sur l’essentiel à savoir les chansons.
    Je trouve les siennes brillantes et son attitude sur scène n’est pas pour me déplaire.
    C’est sûr que ça ne plaira pas à tout le monde.

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    • Norbert Gabriel 5 décembre 2013 à 20 h 02 min

      ce n’est pas un reproche, mais juste une observation, je l’ai vu plusieurs fois, les deux dernières c’était deux jours de suite, avec le premier soir un guitariste en partenaire, et ça donne un relief beaucoup plus intéressant à ses chansons. Brassens n’était pas un agité de la scène, mais il a toujours pris soin d’avoir un partenaire, Pierre Nicolas en scène, et sur les albums un second guitariste ‘soliste’ parmi les plus fins musiciens, Victor Apicella, Barthélémy Rosso, Joel Favreau (et brièvement Jean Bonal) …

       » qui le ferait ressembler à tous ces allumés qui plaisent aux vieux qui tentent d’être encore un peu dans le coup. »
      Je dois être un de ces vieux,un vieux qui apprécie autant le délire verbal (et même scénique) de Joyet, que les fulgurances de Jérémie Bossone (qui pourrait être le fils de Bernard), autant le désopilant Xavier Lacouture et la jeune délurée Carmen Maria Vèga, ou l’extravagante Miravette, ou les lumineux Lili Cros&Thierry Chazelle, ou l’expressive Valérie Mischler, ou la pétillante Agnès Debord, et Louis Ville, Agnès Collet, Anne Sylvestre, Yves Jamait, ou Leonard Cohen,
      car l’âge ne fait rien à l’affaire, autant pour les artistes que pour les gens qui vont les voir.

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  8. Benoît Balao 5 décembre 2013 à 20 h 31 min

    Je trouve que l’article a raison. Malgré ses qualités d’auteur compositeur évidentes, il manque à Pierre Lebelâge de la folie, de l’entrain et de la joie de vivre dans l’interprétation scénique.

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  9. Alain Chabrier 5 décembre 2013 à 22 h 58 min

    Norbert,
    Je n’ai pas dit que vous étiez un de ces vieux et je sais bien que le temps ne fait rien à l’affaire même si je trouve que c’est souvent lorsqu’on a passé la date de péremption qu’on fait volontiers sienne cette maxime là (et je sais de quoi je parle vu que je suis moi aussi blanchi sous le harnais).
    Cela n’empêche qu’il existe bel et bien des vieux qui, par snobisme, se piquent de vouloir défendre une musique qu’il ne comprennent plus.ça existe et je n’y peux rien.Ce n’est pas un reproche, c’est une observation comme vous dites et encore une fois je ne vous implique pas dans cette catégorie là étant donné que je n’ai pas le bonheur de vous connaître.
    On a le droit de trouver que Pierre Lebelâge manque de folie ou d’entrain.On a aussi le droit d’aller voir un artiste qui en a revendre si c’est là un critère dont on a besoin pour apprécier un spectacle.
    Chez Pierre Lebelâge la séduction passe selon moi par son écriture.
    Après je comprends tout à fait qu’on soit hermétique à l’univers de cet oiseau là.
    Pour finir je dirai que j’ai vu moi aussi la première partie à l’Alhambra avec ce guitariste dont vous parlez.contrairement à vous j’ai trouvé que cela n’apportait rien.
    Les contrechants sont gênants pour suivre le déroulement du récit.
    C’est d’ailleurs pour cela que Brassens ne prenait jamais de seconde guitare sur scène je crois?
    Peut être une contrebasse alors..
    mais après ça j’ai bien peur qu’il ne lui reste plus qu’à se laisser pousser la moustache et le polo beige…

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    • Norbert Gabriel 6 décembre 2013 à 3 h 00 min

      ah mais je ne suis pas du tout hermétique, loin de là, simplement, je me pose des questions, des chanteurs seuls avec une guitare, j’en ai vu et entendu pas mal, des jeunes et des moins jeunes, hommes ou femmes, parfois ça passe bien parfois moins bien. La première fois que j’ai entendu Lebelâge, c’était il y a plus d’un an, peut-être deux, la question que je me pose, est-ce qu’il est prêt à faire un album (et un spectacle) de 12 chansons?
      Brassens a eu souvent son deuxième guitariste, je me souviens très bien de la tête frisée de Favreau dans les années 75.
      Quant à jouer les amateurs qui aiment à faire les jeunes avec des musiques « nouvelles » non, sûrement pas… En revanche, je suis de plus en plus attiré par des spectacles, pas un empilement plus ou moins aléatoire de chansons, parce que pour mon point de vue, c’est un tout, même en première partie. Récemment, Valérian Renault, un chanteur à guitare solo était en première partie de Clarika, en 20 mn de temps imparti, il a montré un vrai spectacle, avec une présence scénique impressionnante.
      Même en étant attaché à une certaine tradition dans l’expression, ce n’est pas l’agitation qui fait le show, je suis bien d’accord. Dans ce genre de situation, le point de vue qu’on exprime sur le resenti après un spectacle, je n’ai pas la légitimité ni la compétence de dire « faut faire ça ou ça » mais parfois j’entrevois ce qui va un peu moins bien – pour mon point de vue de spectateur, qui n’est qu’UN point de vue – et il me semble honnête d’en faire part. Si j’avais à suggérer quelque chose à Pierre, ce serait peut-être d’avoir le regard de Xavier Lacouture comme guide, ou metteur en scène appelons ça comme on veut…

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  10. Alain Chabrier 6 décembre 2013 à 11 h 49 min

    Mais bien sur que c’est légitime et honnête de faire part de votre point de vue de spectateur.
    Il y a quelque chose de déroutant chez ce jeune homme à l’écriture déjà incroyablement maitrisée.
    On ne s’attend pas à entendre un truc pareil quand on le voit débarquer sur scène c’est certain mais c’est un personnage à part entière et qui a le mérite de proposer ce qu’aujourd’hui selon moi personne ne fait.
    C’est peut être ce qui fera la différence demain.
    Envisager une mise en scène oui c’est une bonne idée à condition de mettre en avant cette différence scénique là.Gérard Morel serait excellent dans ce rôle (en plus je crois que c’est lui qui l’a découvert).
    Valérian Renault oui je connais c’est très bon même si j’ai trouvé en allant l’écouter une deuxième fois qu’il était plus brillant entre les chansons que pendant (j’exagère un peu mais y a de ça).
    En ce qui concerne votre questionnement sur Pierre Lebelâge « est il prêt à faire un album? » Norbert les bras m’en tombent!!!

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    • Norbert Gabriel 6 décembre 2013 à 12 h 13 min

      Ramassez vite vos bras … Je pensais aux anciens, la plupart quand ils commençaient, faisaient un « 45 T » avec 4 chansons, l’album de 8 chansons venait après plusieurs années.. et souvent 2 ou 3  » 45 T ».
      Brassens est l’exception, mais il avait 10 ans d’écriture quand il a commencé, dont 6 ou 7 ans à temps complet.
      Depuis quelques années, on demande souvent à un jeune artiste de faire 12 chansons pour un premier album. J’en ai beaucoup, des premiers albums CD, et très peu tiennent vraiment la distance des 12 chansons. C’était ça le questionnement, mais je ne demande qu’à être enchanté par un premier album.
      Et d’accord pour Gérard Morel, il est excellent dans cet exercice…

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  11. Benoît Balao 6 décembre 2013 à 16 h 00 min

    On aimerait que Pierre Lebelâge soit aussi bon entre les chansons que pendant. Il pourrait prendre des cours chez Gérard Morel, Vincent Delerm ou Valérian Renault.

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  12. Stéphanie Charon 8 décembre 2013 à 19 h 27 min

    Moi aussi je reste perplexe.
    Pierre Lebelâge recalé du tremplin Festiv’art lors d’une écoute à l’aveugle comme l’écrit la bénévole Claude Fèvre et remarqué par Allain Leprest et Anne Sylvestre quelques mois plus tard…
    Sur le net le festival se présente ainsi:
    « Association engagée dans la défense de la langue française à travers le soutien à la chanson »
    On voit peut être ici les limites du bénévolat…

    Répondre
    • Michel Kemper 8 décembre 2013 à 20 h 13 min

      Je ne voulais pas m’immiscer en ce débat, tout simplement car je ne connais pas Pierre Lebelâge ou plutôt je ne l’ai jamais entendu hors quelques vidéos sur le net. Non, ce qui me fait réagir ici c’est votre dernière phrase, Stéphanie : « On voit peut être ici les limites du bénévolat ». Serait-ce que bénévole est synonyme d’incompétent ? Que si on n’est pas rémunéré, si ce n’est pas son métier, on n’est pas capable de jugement ? ! Déléguons tout aux professionnels, oui : on a vu ce qu’ils ont fait de la chanson !! A France-Inter ce sont des pros, chez Universal aussi ! Il y a des bénévoles, et j’en connais – vous en lisez ici – qui sont au moins aussi compétents que des professionnels. Plus même.

      Répondre
    • Norbert Gabriel 8 décembre 2013 à 20 h 20 min

      ou l’influence du contexte dans lequel on découvre quelqu’un, l’épreuve de vérité étant l’écoute à l’aveugle, comme à la radio…. Quand on voit, ou qu’on rencontre quelqu’un dans un environnement amical, le jugement peut être orienté… Pendant quelques années Leprest a aidé un jeune chanteur d’Ivry, pour qui il avait de l’amitié, les fans les plus fans de Leprest ont eu beaucoup de mal à comprendre…
      Sur l’observation concernant les bénévoles, je ne vois pas bien en quoi ça hypothèquerait leur capacité de jugement… Il y a pas mal de festivals qui reposent sur des bénévoles, avec des programmations exigeantes, et reconnues.Le Quesnoy en chanteurs va fêter sa 20 ème année, avec des bénévoles aux commandes.

      Et puis dans quelques jours le radio crochet de France Inter va commencer, premières auditions le 13, ce sera l’occasion de voir si les jurys de « pros » sont raccords avec le public amateur qui votera in fine pour les lauréats… Si on vous suit, Stéphanie, ces jurys « publics » n’ont aucune légitimité. Ce qu’on a vu à la télé, avec les derniers staracadémiciens… Les derniers élus par le public n’ont pas té soutenus par ce même public. Mais en fin de compte, c’est quand même le public qui va en salle, c’est un autre public, celui qui a voté pour Magali Vaé ou Cyril Cinélu n’est sûrement pas celui qui va au Forum Léo Ferré (créé par des bénévoles, de haut vol) ni au Limonaire…

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  13. Stéphanie Charon 8 décembre 2013 à 21 h 16 min

    Je me demande juste comment un festival qui se veut « engagé dans la défense de la langue française à travers le soutien à la chanson » peut passer à côté des textes de ce mec sous prétexte qu’il reste le cul sur un tabouret ou que ses accompagnements guitare sont monotones (on entendait peut être le tabouret pendant l’écoute à l’aveugle je ne sais pas…)
    Brassens aurait il été recalé lui aussi?
    Norbert, je vois très bien de qui vous parlez à propos de ce chanteur d’Ivry qu’Allain avait pris sous son aile.Moi aussi je me suis posé des questions quand Allain nous l’a imposé en première partie au forum Léo Ferré.Mais que je sache ce n’est pas pour autant que le garçon a signé chez TACET.
    Mais peut-être n’a t’il pas eu la chance de bénéficier « d’un jugement orienté »dans le cadre « d’une rencontre dans un environnement amical »…
    Ma remarque sur les bénévoles est d’une totale mauvaise foi je le reconnais.
    J’avais juste envie de donner un coup de griffe.

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    • Norbert Gabriel 9 décembre 2013 à 2 h 54 min

      De la discussion jaillit la lumière (parfois) et un peu de mauvaise foi met de l’animation dans le salon… Qiuand j’évoque un jugement orienté par un environnement amical, c’était en pensant à un prix pour lequel le public présent dans la salle , pour un prix du public, a été bluffé par la prestation en interview d’un des candidats. L’interview se faisait pendant que le suivant s’installait, c’était une façon de meubler utilement le temps mort. Et un des candidats, très bon d’ailleurs, récompensé par le jury professionnel, a été brillantissime en interview, ce qui a forcément joué dans les choix du public. C’est peut-être cohérent, en estimant que le type capable de faire le show en interview est bon en spectacle. Mais dans cette approche, Françoise Hardy n’aurait duré que le temps d’une chanson.

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  14. Alain Chabrier 9 décembre 2013 à 12 h 42 min

    Cet article se fout de la gueule du monde ! c’est les mêmes reproches à la con qu’on faisait du temps de Georges Brassens. Plus ça change et plus c’est la même chose… « la chanson d’aujourd’hui » je ne sais pas ce que c’est mais si un garçon comme Lebelâge n’y a pas sa place alors ils peuvent se la rouler en suppositoire leur « chanson d’aujourd’hui » et se la mettre où je pense. Autrefois on allait écouter un chanteur pour ses textes et on s’offusquait pas de voir Brassens le pied sur sa chaise ou Félix Leclerc sur scène avec un pull en laine que n’aurait même pas osé porter ma grand mère. mais ça c’était avant…

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  15. Claude Fèvre/ Festiv'Art 9 décembre 2013 à 16 h 50 min

    Oh là, oh là ! Stop !! Je ne pensais pas m’immiscer dans ces échanges que je trouve plutôt salutaires : preuve que la chanson mérite débat ! C’est déjà ça !
    Mais lorsqu’un commentateur s’en vient dire que « cet article se fout de la gueule du monde » ou bien que mon statut de « bénévole » qui est aussi celui de notre association (faute de ressources financières , il faut le préciser tout de même…j’aimerais bien, je l’avoue, avoir à mes côtés un permanent ) discrédite ce que j’écris, là je commence à me tortiller sur mon tabouret !!!
    Je comprends qu’il y ait détracteurs et défenseurs de l’artiste Pierre Lebelâge. Encore une fois, c’est sain et rassurant.
    Mais, sachez seulement qu’avec la plus parfaite honnêteté, les spectateurs dans la petite salle ce soir là étaient tout autant partagés que sur ces commentaires.
    Pierre quant à lui, avec qui j’ai échangé, ne m’a pas semblé dans une grande forme « artistiquement » parlant …et c’était vraiment perceptible en scène.
    J’avoue ne pas très bien comprendre qu’il déchaîne les passions. Je connais une quantité d’artistes en solo avec leur instrument (piano, guitare ou accordéon) qui mériteraient qu’on leur consacre autant d’énergie !

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  16. Yves Amauger 10 décembre 2013 à 10 h 29 min

    Cet article sur Pierre Lebelâge est doublement dégueulasse car non seulement il dégomme ce jeune artiste plein de talent mais en plus, au passage, mine de rien , il écorche une toute petite salle qui programme des artistes locaux –dont certains habitués sont passés également à Festv’Art– mais où l’on a pu applaudir aussi des chanteurs comme Dick Annegarn, Eric Frasiak, etc. … C’est dur d’imaginer que Claude Fèvre, qui organisait Festiv’Art dans l’Ariège— elle ne manque pas une occasion de le rappeler dans ses articles… — ignore les difficultés que rencontrent ses collègues tout au long de l’année. Qu’elle soit dubitative et qu’elle ne sache pas quoi faire de sa plume ça la regarde, mais aller la tremper dans le fiel de cette façon pour un site moribond qui ose encore s’appeler « Nos Enchanteurs » est assez cocasse… 100 % chanson! Mon oeil! Je vous suggèrerais bien un autre titre « Le journal bête et méchant », mais c’est déjà pris. Si je suis en rogne c’est parce que j’étais au concert la veille, car il y a eu deux soirées ( je dis ça pour votre gouverne…) et tout le monde était ravi! C’est vrai qu’on n’était pas nombreux, mais ça respirait la gentillesse ( je sais pour certains ce mot fait un peu culcul…) et rien que pour ça et retrouver de tels moments je suis prêt à sortir ma fourche!

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    • Michel Kemper 10 décembre 2013 à 10 h 34 min

      Que vous ayez, la veille, dans le même lieu, apprécié la prestation de Pierre Lebelâge, c’est bien. Et alors ? Vais-je vous en faire reproche, monsieur ? Que Claude Fèvre, le lendemain, n’ait pas apprécié ce récital, où est le mal ? Elle aussi, avec ce qu’elle est, sa grille d’analyse propre, son expérience, sa culture, que sais-je encore, a simplement tenter d’analyser sa perplexité. Est-ce un crime ? Exercer sa liberté d’expression en est-il un autre ? Se poser des questions est-ce grave, docteur ?
      L’article de ma consœur Claude Fèvre ne dégomme pas ce jeune chanteur, loin s’en faut : ne faudrait-il rédiger que des papiers gentils, à toujours aller dans le sens du poil, du consensus mou ? Ce papier ne fait pas plus de mal à la salle : parce que c’est une petite salle, à gestion associative, il ne faudrait écrire que du miel ? Un organisateur est responsable de la venue d’un article, pas de ce que cet artiste fait en scène.
      Je vous trouve grossier, vulgaire, malappris, et carrément imbécile dois-je vous le dire, d’insulter ainsi ce site qui, je vous rassure, est loin, très très loin d’être moribond. Bien au contraire. Mais vous n’êtes pas obligé d’être un de ses lecteurs.
      Ici se côtoient, voyez-vous, des collaborateurs avec des regards parfois différents et c’est tant mieux. Entre nous, monsieur, nous n’avons pas toujours le même avis : NosEnchanteurs n’est pas monochrome. Ce site (au lectorat très important, de plus en plus même) est simplement l’expression de la vie, en l’occurrence de la vie de la chanson. Vous pouvez ne pas être d’accord avec tel ou tel article, ce n’est pas grave, nous ne vous en tiendrons pas rigueur. Vous avez le droit de ne pas être d’accord avec nous ; nous avons le droit de ne pas être d’accord avec vous. Vos propos extrémistes (qui sont bien dans l’air du temps) sont simplement et franchement désolants.

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    • Norbert Gabriel 10 décembre 2013 à 13 h 07 min

      Il me semble que vous avez une grille de lecture assez particulière, en quoi par exemple l’article écorche-t-il la salle qui programme? Et avoir un point de vue qui diffère du vôtre est donc un crime de lèse majesté ? Par ailleurs, ne vous énervez pas inutilement, puisque ce site est moribond selon vous, ce qui s’y passe, et s’y écrit n’a donc qu’une importance très relative, et sans grande conséquence.
      Et puis allez au bout de votre militantisme chanson, créez un vrai site qui ne parlera que la bonne vraie chanson afin d’assainir le paysage … Moi aussi j’aime bien la gentillesse et la bienveillance..
      la preuve avec cet extrait d’un chanteur « trop gentil » pour certains,

      Le monde a la beauté du regard qu’on y pose
      Le jardin de Monet, le soleil de Renoir
      Ne sont que le reflet de leur vision des choses
      Dont chacun d’entre nous peut être le miroir

      La vie nous peint les jours au hasard du voyage
      En amour en douleur ou en mélancolie
      C’est un peu de ce temps qu’on laisse en héritage
      Enrichi du regard qu’on a posé sur lui.

      Répondre
  17. Danièle Sala 10 décembre 2013 à 13 h 56 min

    « Une femme debout regardait quelque chose
    Une lueur magique au fond de son regard
    Son bras disparaissait sous un bouquet de roses
    Elle était appuyée sur un divan bizarre

    C´était au Grand Palais, sur des toiles de maîtres
    Il y avait un Monet et deux ou trois Renoir
    Le cœur dans les tableaux je me sentais renaître
    Et en fermant les yeux je pourrais les revoir »

    Yves Duteil, Regard impressioniste

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  18. Vivi-Anne 10 décembre 2013 à 18 h 04 min

    Et bien pour ma part, je suis impressionnée par ce que vous pouvez trouver dans un article qui puisse être matière à méchanceté gratuite là où je ne vois qu’une sensation vécue à un moment donné. Ce n’est pas parce que Claude a émis quelques réserves tout à fait subjectives sur cet artiste pour sa prestation de ce soir-là qu’elle le dégomme purement et simplement !
    Et pourtant je ne partage pas sa vision des choses car j’ai eu la chance de voir Pierre Lebelâge à Aizac l’année dernière et il m’a laissé un souvenir tout à fait agréable. Je me suis même dit que c’était bien prometteur. Peut-être n’était-il pas en forme à son deuxième passage dans cette salle, je n’en sais rien.

    Pourrait-on débattre amicalement et sans animosité sur la toile, ou bien faut-il être agressif pour être lu et satisfait de soi ? On peut défendre ses idées sans s’accrocher, que diantre !

    Je ne partage pas non-plus cette façon d’agir, de détruire, de blesser, de haïr, sans doute…

     » Personne n’est né avec la haine pour l’autre du fait de la couleur de sa peau, ou de son origine, ou de sa religion. Les gens doivent avoir appris à haïr, et s’ils peuvent apprendre à haïr, ils peuvent apprendre à aimer car l’amour jaillit plus naturellement du cœur humain que son opposé. » Nelson Mandela.

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  19. Sandra Leforestier 10 décembre 2013 à 18 h 36 min

    Je n’irai pas jusqu’à dire que cet article se fout de la gueule du monde mais plutôt qu’il ne va pas au bout de sa pensée.Claude Fèvre semble chercher « une justification » (ce sont ses mots) au fait que des « anciens » comme Leprest, Anne sylvestre, Joyet et d’autres ont soutenu ou soutiennent Pierre Lebelâge.Elle parle ensuite de mérite (certains chanteurs mériteraient plus que lui…) Un coup c’est le tabouret qui pose problème, un coup l’accompagnement et maintenant c’est Pierre qui n’était pas en grande forme.Je pense que Claude Fèvre n’aime tout simplement pas l’univers de Pierre et que son avis était déjà fait avant d’aller l’écouter sur scène.Elle a le droit de ne pas aimer et encore plus de le dire.C’est une passionnée de la chanson comme l’est Catherine Cour qui a fait un article dithyrambique sur la prestation de Pierre à Barjac sur ce même site l’an dernier.L’une s’interroge sur les passions qu’il déchaine et l’autre se dit prête à faire plus de quatre heures de route pour l’écouter à nouveau. Où est la vérité la dedans ? nulle part si ce n’est que Pierre Lebelâge ne laisse pas indifférent.

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    • Michel Kemper 10 décembre 2013 à 18 h 46 min

      J’aime beaucoup votre commentaire, Sandra. Qui prouve si besoin était encore que NosEnchanteurs est un site pluriel, qui aime à débattre, à confronter les idées, y compris en son sein. Seul bémol à votre propos, je pense, moi, ne serait-ce (c’est mon avantage) pour en avoir discuté avec Claude Fèvre, avant et après ce récital toulousain de Pierre Lebelâge, que son avis n’était pas fait, pas du tout. Comme le mien ne l’était pas avant d’aller voir en scène, il y a quelques jours, cette Carmen Maria Vega qui j’adore absolument et qui, ce soir-là, dans son spectacle Boris Vian, m’a profondément ennuyé. Si j’avais un a priori à ce moment-là, il était très très positif : pour un peu j’aurais pu écrire le papier (forcément dithyrambique) à l’avance. Je me serai gouré.

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    • Norbert Gabriel 12 décembre 2013 à 17 h 41 min

      Un spectacle, c’est un moment donné, et un avis sur un spectacle, un reflet de ce moment donné. Pour ma part, j’ai vu au moins 4 fois Pierre Lebelâge, sur ces 4 fois, j’aurais pu écrire au moins 3 articles différents dans des tonalités différentes, parce que, quoi qu’on en dise, le contexte a une importance. La deuxième fois, il était en « première partie » annoncée de Bernard Joyet, qui a eu l’heureuse idée de le faire passer en milieu de spectacle, Joyet ayant débuté (avec son tube de rappel) du coup, habile, le public était bien disposé. Mais c’est aussi un risque, passer après un virtuose du verbe comme Joyet peut être casse gueule. Ça s’est bien passé. La 3 ème fois, il avait un musicien (voir plus haut) et le lendemain il était en solo, avec les mêmes chansons, dont je peux dire que la dernière, une nouvelle, enfin pour moi, était parfaite; même en solo guitare. C’est peut-être ce qui m’a fait penser que c’était un peu tôt pour un album complet. Si tout est de la veine de cette chanson-là, l’album tournera en boucle chez moi (et les voisins en profiteront)
      Pour l’avis tout fait avant d’entrer en salle, je ne crois pas que ce soit le genre de ce site… Des articles montrent assez qu’on peut être très fan de quelqu’un, et être très dèçu par un concert. Et on peut le dire sans être pour autant une crapule malveillante. Il me semble même que ça crédibilise ce qu’on a dit de bien sur d’autres, ou sur le même en l’occurence, puisqu’à Barjac, il a été loué par Catherine Cour.

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  20. Laurent Berbett 15 décembre 2013 à 17 h 55 min

    Bonjour à tous!
    Je découvre votre site à travers cet article qui circule sur facebook.
    je ne suis pas ici pour faire avancer le schmilblick mais juste pour dire que j’étais aussi « Chez ta mère » ce dimanche et que j’ai trouvé ce concert vraiment excellent.Univers très original.ça fait du bien.Bravo l’artiste!

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  21. D.C. 20 janvier 2014 à 9 h 02 min

    Invitatation à écouter l’entretien avec Pierre Lebelâge, aux Vivats de Viricelles au printemps 2013 : http://cista.canalblog.com/archives/2013/04/25/26989513.html
    DC

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  22. Claude Fèvre/ Festiv'Art 20 janvier 2014 à 13 h 19 min

    Merci à D.C (Mon dieu, comme c’est bizarre cet anonymat !) pour ce lien. J’ai écouté attentivement l’ entretien d’une vingtaine de minutes. Il faudra une bonne moitié de ce temps pour que le jeune artiste s’exprime avec un peu plus de facilité. Je retrouve la même impression…un manque d’assurance évident … beaucoup de références dans le passé en effet… et beaucoup de chance ! Car avoir quelqu’un comme Thierry Garcia à ses côtés ce n’est pas rien, de même que Francesca ou Anne comme bonnes fées !! Vous avouerez que si cet artiste n’émerge pas, c’est qu’il y aura mis de la mauvaise volonté ! Pour l’heure, cet entretien date d’avril dernier et l’album ne s’annonce toujours pas. Mais que fait le producteur qui semble lui dicter sa ligne de conduite ?

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  23. Norbert Gabriel 1 septembre 2014 à 18 h 54 min

    Dans un commentaire précédent, j’évoque une nouvelle chanson de Pierre Lebelâge qui m’a totalement séduit, sans aucune réserve quelle qu’elle soit, c’est « Chiffon » que je viens de trouver sur youtube, ça c’est le genre que je me passe 5 ou 6 fois de suite, ce que je viens de faire.
    https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=16HNe3cSJQQ

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