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![ALAIN BRISEMONTIER, LE SECONd « GLENN GOULD » DE BRASSENS
Quand, par deux vagues, l'une en 1998 (84 chansons), l'autre en 2005 (87 autres chansons), Maxime Le Forestier enregistra toute l'oeuvre de Georges Brassens, il se fit grand plaisir, d'une interview à l'autre, à se qualifier de « Glenn Gould » de Brassens. Ils seront deux désormais à pouvoir le prétendre, Alain Brisemontier ayant cassé sa tirelire pour fixer, à son tour, l'oeuvre du vieux sur Cds. En tout 146 chansons (il y en a 171 chez Le Forestier) : toutes les chansons enregistrées par Brassens, il va sans dire, mais seulement deux de ses chansons posthumes (Les illusions perdues et La maîtresse d'école) ainsi que Le bricoleur, Les radis et Une petite Eve (texte dit).
Brisemontier est un récidiviste, un pêcheur devant l'éternel coupable de gourmandise, ayant déjà commis deux précédents opus sur Brassens. Sa voix, moins éventée dans les médias que celle de Le Forestier, ne risque pas de nous troubler à l'écoute de cette intégrale. Sans être neutre, loin s'en faut, simplemnt moins connus, elle nous séduit et rend justice à ces chansons en leur offrant encore un autre possible, une autre lecture, autre diamant à labourer les sillons de disques que nous croyons déjà connaître. Tirée à 500 exemplaires seulement, ce coffret de huit albums, infiniment modeste et follement prétentieux à la fois, est autre (beau) cadeau à se faire, à l'unisson de Brisemontier pour qui « Brassens est [pour moi] un phare, il éclaire mon chemin et m'aide à vivre. » Un qui a besoin de Brassens comme Brassens avait besoin de La Fontaine ou de Villon : « Et plus je les connais, plus j'ai envie de vivre avec eux. »
On peut le commander à Alain Brisemontier, Le Moulin 49800 Sarrigné. Tél 06.07.13.67.82, brise.net@wanadoo.fr ; site : alainbrisemontier.com
MK (photo Ouest-France)](https://www.nosenchanteurs.eu/wp-content/uploads/2014/10/alain-brisemontier-ressuscite-georges-brassens-200x112.jpg)






































































![Ottilie [B] (photo Rodolphe Julienne)](https://www.nosenchanteurs.eu/wp-content/uploads/2015/03/Ottilie-B-Photo-c-RodolpheJulienne-200x100.jpeg)









































































































































































































































































































































































![MAL ARMÉ, EN PREMIÈRE PARTIE
Le ton est donné d’emblée : « Je suis atteint de poésie chronique », lance le chanteur de Mal Armé, trio de jeunes Lyonnais qui attaque ainsi frontalement. Entre chanson engagée aux prises avec une actualité révoltante, poésie revendiquée, affirmée et envolées musicales, ils nous communiquent « cette soif du monde dans les tripes / Loin des horizons de basse-cour », opposant un cri du cœur poétique et déterminé aux gens sages, trop sages et à un monde désenchanté : « Il n’y a pas de crapaud sur ta route, pas de princesse […] / Mais c’est la tristesse vagabonde qui nous grandit. »
L’ambiance musicale se fait tantôt planante, prenante, en boucles, tantôt plus tonique, rythmique, un air de Noir Désir, aussi dans l’interprétation de Hugo Benin au chant qui déclame, réclame avec intensité…
Mal Armé(s), « comme un glaçon dans le désert » ? Ils ne se défendent plutôt pas mal. « On reste en vie / Pas plus utile que le colibri dans l’incendie », mais en toute beauté; ils nous quittent sur des notes plutôt enjouées, pleines de vie, de soif d’avenir. Une belle découverte, à suivre !](https://www.nosenchanteurs.eu/wp-content/uploads/2017/03/safe_image-200x155.jpg)




















































































































































































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